Miremont. Retour gagnant ou effet boomerang ?

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  • Cadilhac rime désormais avec "Magnanac". DDM, F. Aygalenq Cadilhac rime désormais avec "Magnanac". DDM, F. Aygalenq
    Cadilhac rime désormais avec "Magnanac". DDM, F. Aygalenq
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Philippe Alary

l'essentiel On connaîtra dimanche après-midi les qualifiés pour Revel, théâtre du passage obligé occitan, fin mai.

Tant pis pour les étourdis ! Depuis vendredi dernier en effet, les inscriptions, tant pour les équipes constituées en bonne et due forme que pour les isolés de dernière minute, sont closes. Est-ce le fait du surcroît de difficulté à s’équiper en triplette ? Est-ce le côté dissuasif du mode de qualification mis en place par l’aréopage fédéral en 2022-2023 ? Toujours est-il que les recensements font la part belle à la qualité et non pas à la quantité, l’afflux des candidatures ayant été sensiblement plus massif le 10 mars dernier du côté de Pointis-de-Rivière.

"Le pic de forme est là, la tendance n’est guère favorable aux surprises, sachant que le site de Miremont est propice à un rendement élevé à l’actif des tireurs, ceci explique sans doute cela", explique Jean-Luc Lucchetta. Méfiance tout de même, pas plus tard que le week-end dernier, au même endroit, notre consultant technique était aux premières loges pour voir les coalisés de Cugnaux et de Colomiers briller de mille feux chez les minimes et les juniors, aux dépens des Castelginestois notamment. Assistera-t-on, dans le sillage de Rudy Candeil, le talentueux transfuge de Port-Vendres, à la réplique des grandissimes favoris ? C’est fort possible, même si chez les juniors, le trio magnanacois composé de Maïana Paré, de Jordan Mathieu et de Léo Cadilhac a le potentiel pour donner du fil à retordre à n’importe quel adversaire.

"Swiss system" jusqu’aux quarts de finale

Un nouveau challenge à relever soit dit en passant pour le dernier nommé déjà très en vue par le passé avec Fonsorbes puis Pointis-de-Rivière.

Rendez-vous à 9h30 le samedi pour commencer, le "swiss system" gardant ses prérogatives jusqu’aux quarts de finale : "1h 15 de jeu et deux mènes supplémentaires", poursuit Jean-Luc Lucchetta.

Pour ce qui est du nombre de sésames à composter, il semble vraisemblable de partir sur trois places (pour chaque catégorie cela va de soi), d’où la très forte probabilité d’un barrage à l’ombre du couperet entre battus des demi-finales. De la pression donc, mais, après tout, ce paramètre ne s’invite-t-il pas immanquablement dès lors que la compétition de haut niveau bat son plein ?

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